Plusieurs jours se sont écoulés, je n'ai toujours pas tranché avec Rock. Lui de son côté essaie toujours sans manifester aucun signe de désespoir ni de regret.
Ma petite sœur quant à elle est entre la colère et la pitié. Je refusais dès l'instant toute aide de Rock. Notre situation s'empirait davantage. Je ne pensais pas trop à moi, mais plutôt à ma petite sœur. Un lundi matin alors que nous étions toutes à l'école, une commission venait de notre administration et me demandait. C'était un paquet qui m’a été envoyé. L'expéditeur est George, mon frère. Une fois à la maison j'informai ma petite sœur et nous ouvrions le colis. C'était une enveloppe de quatre-vingts (80.000 FCFA) de francs CFA. Notre joie fut immense.
Dans la même soirée, une délégation de notre famille paternelle était venue dans le quartier et nous cherchait avec photo et description à l'appui. Elle vient de quitter Rock quand aussitôt, il prit sa voiture pour venir nous informer. En réalité notre père de son vivant nous parlait de l'une de ses sœurs dont nous devons nous méfier. Après la mort de nos parents, l'oncle auprès de qui nous étions restés nous en a parlé aussi. Nous avions dû nous cacher chez Rock le temps que la délégation fini ses fouilles.
Cette fois-ci, j'avoue que j'ai senti un certain rapprochement entre Rock et moi. Je lui ai tout pardonné en quelque sorte. Pour me remercier, il décida à ce que nous allions à la plage le samedi; Allida et moi avions accepté. Une fois sur la plage nous nous sommes bien amusés. Mais il y a un moment qui a donné un autre sens à mon existence : la main dans la main, Rock et moi avions décidé de nous éloigner un peu de ma sœur pour nous éclater un peu. Une série de vagues d'eau de mer venait à chaque instant nous réchauffer les pieds. Rock m'a fixé longuement dans les yeux tout en m'enveloppant le cou.
Je le fis de même de mon côté, mais pas pour longtemps, car je n'avais pas pu supporter le regarder dans les yeux aussi longtemps qu'il le fit. Je voudrais abaisser ma tête quand il me retient et là j'avais eu droit à un long baiser fougueux qui endort sentimentalement mes organes sensoriels. Rock n'attendrait pas d'autre circonstance aussi propice que ceci pour m'avouer son amour. Moi ma réponse était des larmes. Il me prit dans ses tendres bras voluptueux et me serra fortement contre sa belle poitrine qui montrait toute sa forme masculine. Bref c'est un moment que je ne saurais oublier. Mais ce bonheur ne durerait que le temps que nous avions passé à la plage. Arrivée à la maison la porte du salon était ouverte avec une musique à l'intérieur. Chose curieuse les colis de ma sœur et moi étaient au dehors.
Nous nous précipitions pour sortir du véhicule. Une fois au salon qui vis-je ? Sophiana, la secrétaire de mon ancien patron, là où j'avais travaillé en tant que technicienne de surface. Elle est royalement assise. Allida la reconnait, car c'était celle qui l'avait menacé entre temps. Alors que Rock avait nié avoir quelque relation avec cette fille.
Qui croire ???
Comment a telle pu avoir l'accès à la chambre ?
...Et comment a-t-elle pu connaitre exactement nos colis ?
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La suite c’est dans le prochain numéro PARTIE IX
Vous pouvez aussi lire les précédents numéros 👇
👉 ENTRE LES ÉPINES DE MA VIE (PartieI)
👉 ENTRE LES ÉPINES DE MA VIE (PartieII)
👉 ENTRE LES ÉPINES DE MA VIE (Partie III)
👉 ENTRE LES ÉPINES DE MA VIE (Partie IV)
👉 ENTRE LES ÉPINES DE MA VIE (Partie V)
👉 ENTRE LES ÉPINES DE MA VIE (Partie VI)
👉 ENTRE LES ÉPINES DE MA VIE (Partie VII)
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